29 janvier 2010

LE MONDE.fr (suite et fin)




Un papier du Monde des livres, édition du 15.01.10, intitulé "Thrillers en kit sur Internet", voir post précédent,  la " journaliste" Véronique Maurus écornait gravement mon travail et mes pratiques d'auteur. 

Un rectificatif du Monde des livres, édition du  29.01.10 répare un peu les dégâts. Ci-dessous :

Précision
"L'article "Thrillers en kit sur Internet", paru dans "Le Monde des livres" du 15 janvier, soulignait la tentation croissante de construire un livre à partir d'éléments exclusivement piochés sur la Toile. Il a suscité nombre de commentaires d'internautes accablant l'auteur du livre (La Route de Gakona), point de départ de cette réflexion. Jean-Paul Jody explique avec modestie qu'il ne méritait pourtant "ni cet excès d'honneur ni cette indignité". "C'est injuste, dit-il, Je suis un auteur qui vérifie tout, jusque dans les moindres détails."

Il a signé des scénarios et des "romans noirs où il aborde des sujets de société" : en 2004, La Position du missionnaire (Les contrebandiers) sur le génocide du Rwanda ; en 2008, Chères toxines (Seuil) sur l'industrie pharmaceutique et, en 2009, La Route de Gakona (Seuil) sur les ondes électromagnétiques et le programme américain Haarp.

L'auteur dit puiser l'essentiel de sa documentation sur Internet mais assure que La Route de Gakona n'avait pas une mais trois sources principales - deux rapports et un livre, cités pour partie au fil de l'intrigue (page 311), pour partie dans les remerciements. "Le programme Haarp est tabou, ajoute-t-il, la presse n'en parle pas. Il faut bien faire avec ce qu'on a. Je n'adhère pas aux thèses "conspirationnistes" mais il y a des choses troublantes. Je ne suis pas journaliste. Je veux piquer la curiosité des lecteurs. C'est un thriller, pas un essai."
Véronique Maurus
 
d'après " portrait de la journaliste Sylvia Von Harden" d'Otto Dix, 
empruntée ici

Merci à celles et ceux qui m'ont témoigné leur soutien et leur amitié.
Retour aux affaires courantes.

16 janvier 2010

LE MONDE.fr


AUTOPSIE D'UN JOURNALISME DE L'INDIGENCE
 
Un article dans le Monde des livres sur La route de Gakona. La journaliste a peu apprécié le roman, c'est son droit absolu. Mais son papier défend surtout un point de vue et, pour l'étayer, elle affirme des choses fausses. Comme la dame est en outre la médiatrice du quotidien Le Monde, et qu'il faut s'abonner pour laisser un commentaire sur le site Web, le rectificatif risque de se faire attendre.  

Ça n'est pas une raison pour laisser une journaliste écrire n'importe quoi. 

Plantu



Version courte :

Contrairement à ce qu'affirme la journaliste dans son article :


1) Le rapport du Grip est cité à deux reprises : en page 311 et avec les sources, en dernière page du roman.

2)  Sur HAARP, la source principale n'est pas ce rapport du Grip, certes essentiel, mais un livre : "Les anges ne jouent pas de cette HAARP" de Meaning et Begich. Louise Courteau Éditrice, 2006. Un essai  best-seller en Amérique du nord. Cité aussi.

3) Le roman ne se résume pas à cet unique rapport, soi-disant piraté à la va-vite sur le web comme le laisse entendre la journaliste mais comporte une somme d'informations d'origines différentes que je cite et développe ici même lorsque j'en ai le temps.

Trouvée ici

"Le médiateur a pour mission de renforcer le dialogue entre Le Monde et ses lecteurs et de veiller au respect du « contrat de lecture » passé implicitement entre eux.
Le Monde.


"Thrillers en kit sur Internet"
LE MONDE DES LIVRES 14.01.10 Édition du 15.01.10
Article de Véronique Maurus, par ailleurs médiatrice du journal Le Monde

A l'heure d'Internet, où commence le piratage, où finit l'inspiration ? Telle est la question soulevée par le dernier livre de Jean-Paul Jody. Comme dans les précédents, l'auteur affirme utiliser la forme du thriller pour populariser des sujets d'actualité. La Route de Gakona (Seuil, "Romans noirs", 490 p., 21,50 €) exploite les dangers supposés des ondes électromagnétiques sur l'homme et le climat. Il développe une thèse abondamment colportée sur la Toile, suggérant que des cataclysmes "naturels" (tsunamis, séismes, ouragans) seraient délibérément provoqués par l'armée américaine à des fins politiques. L'outil serait une station émettrice, d'une puissance inégalée, située à Gakona, en Alaska. 


"Science-fiction ? Pas du tout", écrit l'écrivain sur son site,
Je n’ai rien écrit de tel. Ces mots appartiennent à un journaliste de Ouest-France. Voir l'article plus bas.
 précisant que l'intrigue est fondée sur des faits et une abondante documentation, qu'il a trouvée en "fouinant" sur Internet.
Voilà exactement ce que je dis : « J'aime bien fouiner. Le sujet HAARP est abondamment repris sur le Net sous des thèses conspirationnistes plus fumeuses les unes que les autres. Mais certaines des informations qui sous-tendent ces théories sont réelles et vérifiables, pour peu qu'on se donne le temps et la peine de chercher. »
La première phrase pointe les dérives du Net. La deuxième suggère le temps passé à la quête d'infos sérieuses. L'article du Monde me prête exactement le contraire.


On notera que la journaliste qui stigmatise la recherche sur le Net y puise aussi ses infos, les transforme à son gré, et ne prend pas la peine de me contacter pour les vérifier... Ce qui est pourtant la base de son métier.

Fouiner est un grand mot. Il suffit d'une heure à un internaute moyennement doué pour trouver la principale source de ce thriller (non citée, hélas !, dans les 9 pages d'annexes). 
Contrairement à ce qu'affirme Véronique Maurus, le rapport du Grip est cité par deux fois :  à la page 311 et en dernière page. 
Affirmation erronée, venant d'une journaliste qui donne pourtant, plus bas, de bons conseils  (la véracité...).
N'ayant pas consulté la dernière page du roman, elle rate évidemment les sources, dont la principale :  Les anges ne jouent pas de cette HAARP  de J. Meaning et N. Begich,  Louise Courteau Editrice, 2006. LE livre de référence sur HAARP, un essai qui n'a rien à voir avec le Web.
La journaliste aura sans doute oublié la leçon première de son métier : vérifier ses infos.
C'est un rapport de 98 pages du Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité (GRIP). Intitulé "Le programme Haarp, science ou désastre ?", il détaille les activités du "High Frequency Active Auroral Research Program" (Haarp) américain, et de la station de Gakona. Haarp, conclut-il, n'est qu'un programme de recherche, mais, couplé à d'autres programmes militaires, il pourrait être dangereux.
Hors cette conclusion prudente,
La journaliste a-t-elle lu le rapport ou seulement sa conclusion ? a-t-elle lu le roman ? Ce rapport, écrit en 1998 alors que le projet HAARP balbutiait à peine, a déclenché une enquête du Parlement européen (1999) qui en souligne la dangerosité en ces termes :
"Ces travaux de recherche doivent être considérés comme extrêmement néfastes pour l'environnement et la vie humaine. Personne ne sait avec certitude ce que peuvent être les effets de HAARP. "
on trouve dans ce rapport toute la matière du livre : les soupçons mais aussi les faits (les sociétés impliquées par exemple), les plans, les cartes, les données scientifiques, les chiffres, les brevets - abondamment détaillés. Au point que, après avoir lu le rapport, on ne peut s'empêcher de voir dans le roman un clone, hâtivement maquillé en thriller.
Quiconque a seulement ouvert La route de Gakona, ou survolé ce blog, peut mesurer la diversité des informations et le temps qu'il a fallu pour les collecter. Chacun peut s'en rendre compte instantanément. La journaliste aussi. Alors quel intérêt pour elle de réduire ce travail à un piratage rapide sur le Net ? 
On objectera que la fiction puise souvent son inspiration dans les médias. Combien de polars basés sur des faits divers ? De romans d'espionnage sur de vraies affaires ? Cependant, en général, la documentation nourrit l'imagination, elle ne la supplée pas. Pour les meilleurs, la trame n'est qu'un prétexte à recréer un univers, à faire vivre un personnage, une époque ou un milieu.
Tel n'est pas le cas de La Route de Gakona, thriller certes, mais d'une facture très banale. Sa seule originalité tient précisément à son sujet, nourri d'un nombre impressionnant d'informations, le tout puisé dans le rapport précité. Ce n'est pas interdit. Juste troublant.
Curieusement focalisée sur ce rapport du Grip, la journaliste passe sous silence d'autres thèmes abordés dans le roman, quid du climat ? des nouvelles armes électromagnétiques ? de la Chine ? des chemtrails ? du livre de Naomi Klein ? sujets beaucoup plus controversés qui serviraient merveilleusement son propos. Rien là-dessus. A-t-elle lu le roman ?
A ce compte-là, pourquoi lire le livre ? 
Bonne question. Le rapport du Parlement européen cité plus haut et datant de 1999 disait :  
"L'opinion publique ignore pratiquement tout du projet HAARP et il est important qu'elle soit mise au courant. "
La recommandation du Parlement européen aura probablement échappé à la journaliste, à l'époque pourtant grand reporter et chef adjoint du service Enquêtes et reportages au journal Le Monde.
Depuis dix ans que ce programme  fonctionne, alors que HAARP s'épèle dans toutes les langues sur Internet, mêlant les pires élucubrations aux interrogations les plus troublantes, quelles informations a apporté  Le Monde ? Aucune. Rien. Une brève signalant que des scientifiques avaient réussi à produire une aurore boréale... Piètre livraison en dix ans que celle de notre grand quotidien national de référence. L'opinion publique doit se contenter d'explorer le Web, seul pourvoyeur sur le sujet; ou de lire des thrillers qui, au moins, suppléeront les silences de la presse et gagneront peut-être le modeste mérite d'attirer l'attention sur la station HAARP.
Pour s'épargner une lecture plus fastidieuse ? On y gagne certes en facilité, mais pas en temps ni, surtout, en véracité. Comme si l'emballage remplaçait le produit... Ce "Web thriller" n'est sans doute pas le premier ni malheureusement le dernier. 

Pour les éditeurs et les auteurs pressés, Internet est un vivier tentant de "prêt-à-écrire". C'est aussi une illusion : il faut très bien connaître un sujet pour y puiser une solide base documentaire. A fortiori s'agissant d'un"buzz". Mais qui décèlera l'artifice ?
Véronique Maurus. 
Traduction :  pour produire de l'information il faut être journaliste, sorti d'une école et dûment accrédité d'une carte de presse... Et les sources doivent provenir de journaux autorisés ?  Hélas pour les vieilles berniques qui s'accrochent encore à leur (confortable) rocher, le monde de l'info a changé.
A propos du "buzz" : n'importe quel journaliste sérieux du Monde pourrait balayer ces théories fumeuses qui rôdent autour de HAARP, extirper le faux et explorer le vrai. Il semble plus facile de stigmatiser les petites mains anonymes qui s'activent maladroitement derrière leurs écrans.  

Derrière cette pseudo-critique, matière à un papier rapide, écrit à peu de frais, et mensonger, (Mais qui décèlera l'artifice ? comme dit elle-même la journaliste) pointe surtout le malaise d'une certaine presse écrite, vieille dame autrefois célébrée, aujourd'hui délaissée -on peut le regretter-  et qui se voit préférer une jeunette, certes brouillonne et mal fagotée, mais tout aussi informative et diablement plus dynamique : la Toile. 
 A l'heure où les critiques littéraires déplorent le manque d'espace pour parler des livres qu'ils aiment, on s'interrogera sur la nécessité d'une telle parution, gourmande d'une place pourtant sévèrement rationnée. Et on laissera aux lecteurs du Monde le soin d'apprécier les raisons et l'intégrité d'un papier écrit par une journaliste, par ailleurs médiatrice de leur quotidien favori, qui, dans ce billet au moins, ne vérifie pas ce qu'elle écrit.
 Enfin, par-delà ces pseudo-considérations littéraire où, pour certain(e)s, brasser du vent signifie gagner son pain, on se tournera avec bénéfice vers d'autres journalistes de la rédaction, dans l'attente de réponses à cette simple question : 
- HAARP "chauffe"-t-il oui ou non des régions de la haute atmosphère ? Au-dessus de quels endroits de la planète ? Avec quels effets ? En a-t-on la preuve ? La réponse, sourcée et documentée, est déjà sur le Net, pas encore dans Le Monde. Ça ne saurait tarder. Il suffit de "fouiner", ça ne devrait pas prendre plus d'une heure à un journaliste moyennement doué.
Mais ces questions n'intéressent peut-être ni les journalistes ni les lecteurs du Monde.
COURRIER DES LECTEURS
Mise au point.
La route de Gakona est associée par certains à des théories que je ne partage pas.
Je pense que, si danger il y a avec HAARP, il est ailleurs.
Puisque la question revient très régulièrement, je retranscris ici un abrégé de conversations contradictoires. L'occasion de préciser mon point de vue personnel et non d'auteur. Les lecteurs devraient y trouver mes réponses et l'on n'y reviendra plus :

Q : Croyez-vous vraiment que HAARP ou l'Armée américaine déclenchent des séismes ?
 Ma réponse est Non je ne le crois pas ! Pour diverses raisons. Je ne peux tout simplement pas, raisonnablement et d'un point de vue moral, imaginer une pareille chose. A mon humble avis, la technologie ne le permet pas. Et enfin je pense que l'acte serait repéré par les satellites.
On m'objecte que je suis bien naïf, et que finalement je n'en sais rien du tout. Ce qui est vrai, il s'agit juste d'une opinion.

Si la question avait été :
Q : Croyez-vous vraiment que HAARP puisse déclencher accidentellement des catastrophes climatiques ?
J'aurais répondu que, toujours selon mon opinion, oui ce genre d'accident me parait possible.

Jules Verne pensait-il vraiment que la Terre est creuse ?
Encore une fois, même si de nombreuses informations sont réelles, La route de Gakona est un roman, un thriller avec, en seconde intention, le désir d'attirer l'attention sur HAARP. Il se trouve que, fortuitement, dans le désastre qui frappe aujourd'hui Haïti, la réalité rejoint la fiction : après un séisme, les Américains débarquent et gèrent le pays.
Parce qu'ils sont les plus proches et les mieux outillés.

PS : Merci pour vos messages. Merci aussi de ne plus poster de commentaires injurieux ou discourtois à l'égard de la journaliste, je ne les publierai pas

7 janvier 2010

ARMES CLIMATIQUES



Chapitre 24
- Écoutez ça : " Après la Seconde Guerre mondiale, Russes et Américains rivalisent pour tenter de changer le climat. Les Soviétiques auraient été capables de manipuler le climat sur l'Amérique du Nord pendant plus de dix ans sans être découverts."


LES MILITAIRES VEULENT-ILS SE SERVIR DU CLIMAT COMME ARME ?
Aucune preuve. Et une convention de l'ONU l'interdit. Mais...

« L'intervention dans le domaine atmosphérique et climatique... se déploiera à une échelle aujourd’hui difficile à imaginer... Cela interférera dans chaque relation de pays avec tous les autres, plus fortement que la menace de l’arme nucléaire ou que toute autre guerre pourrait le faire. »  
John von Neumann,  à l'apogée de la guerre froide (en 1955) (Cité par Spencer Weart dans, Environmental Warfare: Climate Modification Schemes, Global Research, 5 décembre 2009) 
Piqué sur le site de Supahumandignity

« La guerre environnementale est définie comme la modification intentionnelle ou la manipulation de l'écologie naturelle, tel que le climat et la météo, les systèmes terrestres comme l'ionosphère, la magnétosphère, le système des plaques tectoniques, et/ou le déclenchement d’événements sismiques (tremblements de terre) afin de provoquer intentionnellement la destruction physique, économique et psychosociale d'un objectif géophysique ou d’un site habité, dans le cadre de la guerre stratégique ou tactique. » (Eco News) Piqué sur le site de Supahumandignity



L'opération Popeye : de mars 1967 à juillet 1972, pour ralentir les soldats vietnamiens, les militaires américains ont ensemencé les nuages avec de l'iodure d'argent afin de provoquer des pluies et d’allonger la durée de la mousson sur le Nord-Vietnam, spécialement sur la piste Ho Chi Minh utilisée pour ravitailler les troupes ennemies. Le slogan du 54th Weather Reconnaissance Squadron était : « Faites la boue, pas la guerre..."
L'opération est restée secrete jusqu'en 1972.



    retrouver ce média sur www.ina.fr



Ben Livingston, père de l'arme météorologique


1/ 3 Ben Livingston, père de l'arme... par hussardelamort


2/3 Ben Livingston, père de l'arme... par hussardelamort


3/3 Ben Livingston, père de l'arme... par hussardelamort

Lire aussi ici :

"Après la guerre du Vietnam Ben Livingston fut affecté au centre de développement d'armes de Corona où il poursuivit l'étude d'armes météorologiques " à l'échelle de la planète ". Quand Alex Jones lui demande s'ils firent des essais aux États-Unis, il répond "oh oui, des tas !"
L'impression qui se dégage de cette interview est qu'il s'agit d'un homme en fin de vie, qui doit avoir plus de quatre vingt ans, se sait peut être malade et veut soulager sa conscience. Ça n'est pas tellement les actions de guerre sur le Vietnam qui pèsent, mais peut être ce qui suivit, et sur quoi il est peu disert, c'est à dire sur ces systèmes d'armes météorologiques et climatiques ultra-secrets, dont il s'occupa au centre de Corona, et qui " s'étendaient à l'ensemble de la planète". 

Dans la seconde vidéo, Ben Livingstone explique que la météorologie, en tout cas pour l'hémisphère nord, est déterminée par le cheminement de 5 à 7 "perturbations" qui représentent des descentes d'air froid polaire. Ces perturbations s'étendent comme des guirlandes, et sont associées à des "fronts" qui sont les lieux de naissance des formations orageuses. Quand nous observons une carte des prédiction météorologiques, à l'échelle de notre région d'Europe, nous voyons passer, d'ouest en Est, ces perturbations successives. Selon Ben Livingston, en utilisant un nombre très réduit d'avions et en effectuant des ensemencements dans des points d'activités, des zones orageuses, il serait possible de contrôler ainsi la météorologie de la planète entière, avec quelques centaines de kilos d'iodure d'argent seulement." J-P Petit.

Depuis, comme on l'a déjà vu, l'ONU, par la convention ENMOD de 1978 interdit d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles. 
"L’expression « techniques de modification environnementale » s’applique à toute méthode visant à modifier, par manipulation délibérée des processus naturels, la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, notamment ses biotopes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère ou l'espace extra-atmosphérique. (Convention on the Prohibition of Military or Any Other Hostile Use of Environmental Modification Techniques, Nations Unis, Genève, 18 mai 1977) " Piqué sur le site de Supahumandignity.
En la chauffant, HAARP peut modifier l'ionosphère, c'est même son but premier.

Air Force 25 : est un rapport sous-titré "Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025"
Publié en aout 1996, il indique que les militaires américains souhaitent maitriser le climat d'ici 2025.
« [La modification de la météo] offre aux belligérants d’une guerre un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre l’adversaire... La modification du temps fera partie intégrante de la sécurité nationale et internationale, et pourrait se faire de manière unilatérale... Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives, et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de créer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale... et de produire des conditions météorologiques artificielles, fait partie d'un ensemble de techniques [militaires] intégrées. » (US Air Force document AF 2025 Final Report)  Piqué sur le site de Supahumandignity.
"Guerre climatique ? De nouvelles preuves montrent que les États-Unis et la Russie sont impliqués dans une course illégale pour exploiter la puissance des ouragans et des tremblements de terre."
Daily Express 16-07-2005. Lire ici (en anglais)

En 2007, à la suite de la publication et de la levée du sceau du secret de documents du gouvernement britannique aux Archives Nationales, le Daily Express a signalé que :

"Les documents [levés du sceau du secret] révèlent que les États-Unis, qui les ont menés sur le terrain, et l'Union Soviétique, ont des programmes militaires secrets dont l'objectif est la maîtrise du climat de la planète. " Piqué sur le site de Supahumandignity.

"The Ultimate Weapon of Mass Destruction: Posséder la météo" pour l'usage militaire."

"Science Fiction. Les services secrets fantasment. Tempêtes de décembre : phénomène naturel ou attaque terroriste ?" par Jean-Moïse Braitberg, VSD du 08 au 14 juin 2000. Cité par Marc Filterman, auteur de "Les armes de l'ombre" Edition Carnot, 2001. Quelqu'un aurait l'article ?

"Y a-t-il des traces visibles d'essais d'armes climatiques ?"
 Ici. 29 sept 2002, par J-P Petit, auteur de "Les enfants du diable" Albin Michel, 1995. 




à suivre...